LA FAMILLE ET LE POTAGER
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Thème
Dans une famille des plus aisées, mais au passé familial chargé, un couple soudé pour le meilleur du pire va se retrouver confronté – à cause leur enfant au tempérament particulier – à des situations qui bouleverseront leur apparente tranquillité.
Points forts
• Un décor impressionnant digne des grandes heures de ce théâtre des Variétés, qui fut un fleuron et fit les grandes heures du théâtre de boulevard (on pense à Jean-Michel Rouzière)
• Un jeune comédien, Jean-Baptiste Shelmerdine qui incarne avec justesse, fantaisie et simplicité un personnage pas simple à défendre.
• Régis Lapalès et Marie-Anne Chazel au mieux de leur art, avec pour résultat un public qui rit de bon cœur.
Quelques réserves
• Une idée de départ reposant sur une situation amusante, mais très inégalement traitée
• Un texte qui mériterait d’être vraiment travaillé.
Encore un mot...
Une bonne soirée pour un public en quête de bonne humeur.
Une phrase
MARIE : « J’attends ma bru, qui a trois heures de retard et qui sort de prison, franchement c’est costaud ! »
DENIS : « Grâce à son argent, j’ai pu peindre pendant 40 ans… sans rien vendre ! »
L'auteur
Comédien, on l’a vu souvent au théâtre et à l’écran, cette pièce est la deuxième qu’il ait écrite.
Commentaires
On vient de quitter le théâtre, très bon jeux de Laspales et Chazel, par contre le fil conducteur de la pièce est en ligne droite, pas de rebondissement, l'atmosphère est plate, le texte faible. Très peu de rire dans la salle. Sans Laspales qui relève le niveau comique par ses intonations et gestes typiques, cette réalisation aurait été un navet parfait pour le jardin.
Vu à la télé hier soir.
Je n’en reviens toujours pas…
Qu’Anne Bourgeois ait pu cautionner, puis mettre en scène une pièce aussi nulle, que rien ne sauve, ni le niveau de langue, ni les situations toutes plus stupides et téléphonées les unes que les autres est un mystère.
De trois choses l’une : 1/ Elle avait bu sans dessoûler pendant un an 2/ Elle devait rentrer un maximum de blé pour payer ses impôts 3/Elle cumulait les deux tares.
Par charité, je m’abstiendrai d’évoquer le cabotinage pitoyable - obligatoire pour ne pas mourir de honte ? - des interprètes de cette connerie chimiquement pure.
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