
Je m’appelle Georges
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Thème
Un matin, Georges découvre quelque chose d'étrange qui va bouleverser son quotidien : toutes les résidences autour de son nouvel appartement portent les prénoms de ses ex-compagnes : Villa Christine, Villa Adriana, Villa Clémentine...
A peine cherche-t-il à éclaircir ce mystère qu'une nouvelle construction s'annonce près de chez lui : la Villa Emilie ! Serait-ce un présage ? Le prénom de son prochain amour ? Plongez dans une folle et hilarante quête amoureuse dans un décor de bande dessinée.
Points forts
La fantaisie toujours renouvelée de Gilles Dyrek s’exprime avec cette charmante comédie romantique qui vous attend et vient apporter un peu de fraîcheur en période de réchauffement climatique... Tout est de légèreté vêtue, en délicatesse des sentiments, naïveté et candeur.
La scénographie est digne des amoureux de Peynet ou d’un Sempé : Eric Bu s’est emparé des mots de Gilles Dyrek pour nous trousser un joli spectacle qui nous donne le sourire pour le reste de la soirée.
Toute la petite équipe prend plaisir à incarner une galerie de personnages cocasses aux prises avec leurs sentiments.
Quelques réserves
Pas ou peu.
Encore un mot...
Y a-t-il un destin pré-programmé pour les histoires d’amour ? Tout est-il affaire de hasard ou de coïncidence ou faut-il y mettre un peu du sien ?
Que d’équations en somme, quand en plus votre prénom vous assigne déjà une image particulière !
Une phrase
La collègue : « C’est quoi votre problème ?
- Georges : Il se passe quelque chose d’incroyable. Tous les immeubles de Chatenay portent le nom de mes anciennes amoureuses. »
[…]L’ami : « Tu connais pas son prénom ?
- Georges : J’avais trop peur qu’elle s’appelle pas Emilie ! »
L'auteur
Gilles Dyrek, comédien et auteur, fils du comédien François Dyrek, a écrit plusieurs pièces à succès : Le retour de Richard III, Le projet, titre provisoire, Venise sous la neige, Noël au balcon et Gagnant-gagnant.
On le retrouve au côté d’Isabelle de Botton dans Aïe d’Attica Guedj.
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