STHLM Blackout

Comédie cocasse autour d’un attentat qui vise le site industriel de l’énergie à Stockholm ; le romantisme, fil conducteur de la trame de l’histoire, hautement original car improbable, apparaît dans un contexte très particulier : au détour de l’explosion d’un site crucial, ayant entraîné 6 victimes.

Nous voilà donc blackboulés par ce blackout dans cette capitale, au moment même où la ministre de la défense va s’exprimer sur une chaîne de grande écoute pour annoncer le renforcement de l’armement du pays. Au moment même de l’intervention, coupure magistrale du réseau électrique, non seulement sur les écrans télévisuels mais aussi dans toute la ville, plongeant la cité dans l’obscurité la plus totale.

Nous découvrirons que cet acte loin d’être anodin est depuis quelque temps répétitif… C’est donc en plein chaos que la journaliste chargée de l’interview est poursuivie au sein même du plateau télé par des policiers qu’elle n’a de cesse de vouloir semer. Au passage, elle « embarque » dans sa fuite son collègue réalisateur qui ne comprend rien à ce qui leur arrive et qui après qu’elle a été froidement abattue sous ses yeux va porter la charge de découvrir une vérité qui dérange tout le monde.

C’est ainsi que commence une histoire à rebondissements dans laquelle le duo que le  réalisateur Arthur va former avec Mille, une inconnue rencontrée lors d’un rencard Meetic va nous permettre d’avancer progressivement dans le couloir de cette intrigue.

Comme vous pouvez le deviner, cette série farfelue mais hypertonique nous entraîne dans un thriller avec nombre de dédales et de points d’interrogations : que se passe-t-il alors en Suède ?