Philippe Caubère: Le Bac 68, 100% de réussite
Infos & réservation
Thème
Philippe Caubère nous emmène en 1968, en mai plus précisément. Il doit passer le bac mais il préfère manifester que réviser; ce qui n’est pas, du tout, du goût de sa mère.
Points forts
1/Caubère nous embarque immédiatement, en nous faisant rire du début à la fin.
2/ Une interprétation à couper le souffle. Notamment le personnage de sa mère.
3/ Une écriture simple, fluide, pleine d’humour.
4/ Une tranche de vie passionnante.
Quelques réserves
Je n'en vois aucun...
Encore un mot...
J’ai retrouvé Caubère...
Je l’avais perdu de vue depuis quelques années. Plus grande envie de le voir.
Et puis, là, j’ai retenté l’aventure, parce que Caubère c’est une aventure ! Et j’ai ri, tellement ri! Et puis, comment ne pas se dire que mai 1968 devait arriver ? Que la France de 1968 n’était franchement pas moderne ?
Ca reste entre nous, mais j’y retourne la semaine prochaine...
Une phrase
« La fatigue scolaire ? Monsieur est fatigué. Je t’en prie Ferdinand. Ton père a fait les grandes écoles et plusieurs à la fois. Comment il faisait ? Eh ben, la journée, il faisait HEC, le soir des mathématiques et le matin du droit. Et le dimanche de l’aviron, mon petit garçon ! Comment ça, quand est-ce qu’il dormait ? J’en sais rien, moi. C’est une question stupide. La nuit, j’imagine ».
L'auteur
Grand artiste de la scène, comédien hors norme, Philippe Caubère a été l’un des piliers du Théâtre du Soleil, d’Ariane Mnouchkine, avant de prendre son envol tout seul. Et depuis 30 ans, il nous conte des histoires formidables, très autobiographiques.
Commentaires
Vu le spectacle hier (19/11/2016). Magnifique! Rires du debut a la fin, avec beaucoup de tendresse et de poesie. Je ne comprends pas les mauvaises critiques de certains sites, de pseudo-journalsites bobo. Je le recommande vivement
Ajouter un commentaire