Agence Perdido - Tome 1 : Les derniers retrouveurs
Illustrations de Noëmie Chevalier
Parution le 10 octobre 2024
480 pages
16,90 euros
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Thème
Lucy vit avec sa tante depuis la disparition de sa mère. Malheureusement cette tante la force à voler dans les wagons des trains de Grand Central, la gare de New York. C’est dans cette même gare que Lucy va faire la rencontre de Rita Perdido, une retrouveuse qui apprend à Lucy qu’elle possède le don de retrouvage, ce qui signifie qu’elle peut pénétrer dans les oubliettes des croquemitaines, des êtres qui font les allers-retours entre les oubliettes et la surface pour faire disparaître des objets et des personnes. Persuadée que sa mère a été enlevée par un croque-mitaine, Lucy va tout faire pour la retrouver avec l’aide de Rita Perdido.
Points forts
Ce livre est facile à lire, riche en aventures et en émotions. L’histoire est envoûtante et l’intrigue devient rapidement prenante.
Quelques réserves
Pour moi, ce livre n’en a aucune. L’aventure s’enchaîne rapidement et en aucun cas, l’histoire est lassante.
Encore un mot...
Ce qui m’a plu dans ce livre, c’est l’originalité de l’histoire. Le fait que l’auteur arrive à nous faire croire à l’existence de ce monde. L’amitié et l’imagination sont les plus grandes forces de ce roman. J’ai hâte de lire le deuxième tome.
Une phrase
« Voilà la leçon la plus importante du retrouvage, celle que nous mettons toute une vie à apprendre : on ne retrouve jamais vraiment ce qu’on a perdu.
Mais ma mère est toujours ma mère ! Protestai-je.
- Peut-être. Mais toi, tu as changé […]. Rappelle-toi le lama que ce garçonnet avait égaré, et que tu as apporté une semaine après au bureau des objets trouvés. Sept jours, c’est une éternité à l’aube de la vie de cet enfant […] ce n’était plus tout à fait le même lama, parce qu’il n’était pas plus tout à fait le même garçon. » (Page 434)
L'auteur
Victor Dixen est un écrivain français né en 1979 d‘un père danois et d’une mère française. Il est l’auteur de plusieurs séries de littérature pour jeunesse comme Phobos, Animale, Le cas Jack Spark et Vampyria.
Il a reçu le Grand Prix de l’Imaginaire jeunesse francophone en 2010, pour Eté mutant, et un autre en 2014 pour La malédiction de Boucle d’or.
En 2016 il s’exprime dans une interview à France Culture sur le succès des romans adolescents. « Beaucoup d’autres passent du roman adulte au roman jeune adulte parce qu’ils retrouvent une forme de liberté. Le problème avec la littérature française est qu’elle est tellement obsédée par le stylo qu’elle oublie l’histoire. Les jeunes ont besoin d’être emportés par une histoire et des personnages dès la première page et jusqu’à la fin du livre. »
Ils viennent de sortir
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