La jeune fille et la nuit
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Thème
Un défi que s’est imposée la superstar de l’édition française Guillaume Musso : écrire un « polar sans policiers ». Pour « La jeune fille et la nuit »- son seizième et nouveau roman, il y a ajouté un ingrédient supplémentaire : quitter les Etats-Unis et principalement New York qui lui ont servi de décor pour ses précédents livres, et poser son histoire cette fois « dans des lieux familiers » sur la Côte d’Azur, à Nice et ses alentours dont Antibes (où est né Musso).
Dans ce livre, à ranger dans la catégorie très prisée outre-Atlantique du « campus novel », d’emblée l’auteur donne le nom de l’assassin. C’est Thomas, le narrateur romancier à succès né à Antibes.
Décembre 1992, Thomas, ayant alors 18 ans, élève en classe préparatoire d'un lycée sur la Côte d’Azur, a assassiné Alexis, le professeur de philosophie qui aurait été l'amant de Vinca, dont il était secrètement amoureux.
Le corps d'Alexis a été emmuré dans le gymnase du lycée, Vinca a mystérieusement disparu, l'enquête de police est restée sans résultat.
Vingt-cinq ans plus tard, le romancier est de retour à Antibes pour les cinquante ans du lycée. Il se dit que le gymnase doit être rasé; alors, on retrouverait le corps du professeur. C’est le début du cauchemar pour Thomas et son ami Maxime qui l'a aidé à se débarrasser du cadavre. Pire : à l’attention de Thomas, a été écrit « Vengeance »…
Points forts
-La construction parfaitement maîtrisé de « La jeune fille et la nuit ». En grand technicien, Guillaume Musso propose un récit qui court sur une journée de mai 2017 avec des retours sur cette soirée et cette nuit de décembre 1992. « Tout rassembler au cours d'une seule journée a été une contrainte volontaire, ça stimule », confie Musso.
-Le personnage de Vinca Rockwell, disparue en 1992, à 19 ans. Elle hante le roman, elle qui, selon Guillaume Musso, était « la reine du campus. Libre, gracieuse, passionnée, elle fascinait son entourage ».
-Un souffle qui traverse les pages de « La jeune fille et la nuit » et qu’on a pu respirer dans des textes de David Lodge ou encore de Michael Chabon.
Quelques réserves
-Comme dans les romans précédents, le style et l’écriture sont passe-partout. Mais Guillaume Musso aime à répéter : « Plus qu’un écrivain, je suis un raconteur d’histoires ».
-Les clichés nombreux, comme les lycéens mus essentiellement par les poussées d'hormones ou encore les professeurs évidemment un peu, beaucoup secoués. Sans parler des décors enneigés: oui, bien sûr, le meurtre eut lieu en décembre !
Encore un mot...
Au terme d’un transfert pharaonique, Guillaume Musso a changé d’éditeur, le nouveau voulant jouer à présent au niveau mondial.
Avec ce dernier livre, il s’en sort, certes, honorablement mais sans casser la baraque. Qu’on se le dise, Musso reste Musso. Un raconteur d’histoires…
Une phrase
Ou plutôt deux:
- « Pointe sud du Cap d’Antibes. Le 13 mai.
Manon Agostini gara sa voiture de service au bout du chemin de la Garoupe. La policière municipale claqua la porte de la vieille Kangoo en pestant intérieurement contre l’enchaînement de circonstances qui l’avait conduite ici… »
- « C’était jour de mistral et j’adorais ça. Tout concourrait à me reconnecter à mon passé et à me faire à nouveau prendre racine dans cet endroit que j’aimais et que j’avais quitté pour de mauvaises raisons. Je ne me faisais pas d’illusions : la ville n’était plus celle de mon adolescence, mais comme New York, je continuais à aimer l’idée que je me faisais d’Antibes. Une ville à part, préservée du clinquant de certains autres coins de la Côte ».
L'auteur
Né le 6 juin 1974 à Antibes, Guillaume Musso a grandi sur la Côte d’Azur et découvert les livres dans la bibliothèque municipale dirigée par sa mère. Etudiant, il commence à écrire à 19 ans et séjourne quelques mois à New York où il travaille comme vendeur de crèmes glacées. De retour en France, il a des idées de romans plein la tête. Après une licence de sciences économiques, il s’imagine professeur.
Après un accident de voiture à 24 ans et un premier roman (« Skidamarink », 2001) vendu à 1 600 exemplaires, il change d’éditeur et publie en 2004 « Et après… », qui débute par une expérience de mort imminente. Succès immédiat, près de 3 millions d’exemplaires, traduction dans plus de vingt langues.
Depuis, sur le rythme d’une parution annuelle, il accumule succès et best-sellers, parmi lesquels « Seras-tu là ? » (2006), « L’Appel de l’ange » (2011), « Sept ans après » (2012), « Central Park » (2014) ou encore « La Fille de Brooklyn » (2016).
Depuis 2010, il est l’auteur le plus vendu en France. En 2017, tel un footballeur de niveau mondial, il quitte XO pour rejoindre Calmann-Lévy. Il assure que ce n’est pas là une affaire d’argent alors que parait donc « La jeune fille et la nuit », son nouveau roman. Faut-il le croire, lui l’auteur français aux 32 millions d’exemplaires vendus dans le monde, traduit dans 40 langues et suivi par 400 000 personnes sur les réseaux sociaux ?
Commentaires
ce nouveau roman de Musso est un peu déstabisant,car complètement différent de se qu'on avait l'habitude de lire de cet auteur. le suspense est bien moindre que dans les œuvres précédentes de Musso ..
Un peu déçue.. J'ai éprouvé de l'antipathie pour le personnage de Thomas, On dirait que ce livre a été fait à la hâte. Je n'ai pas retrouvé le soin que Musso porte d'habitude à ses intrigues.
je suis décue par ce livre... je me suis ennuyée à le lire. Les protagonistes n'attirent pas la sympathie. Thomas , meurtrier d'un professeur , n'éprouve aucun remord à aucun moment. Je vais vite oublié ce livre . Et j'espère que le prochain Musso sera à la hauteur de ses romans précédents!
Très déçue également de ce livre.J’ai d ailleurs mis beaucoup de temps à le lire.Presque inintéressant par rapport à d’autres livres du même genre.Ce style ne lui correspond pas du tout et ce n’est pas une réussite.Vivement le prochain avec un bon musso comme il sait en faire!
Déçue par le livre.
J'en suis à la moitié et me force à le finir; le suspense n'est pas au RDV
Rien à voir avec ses autres romans qui m'avaient "accrochée" !
J'ai moins aime que d'habitude je trouve qu'il passe un peu trop vite sur le meurtre du prof de philo et que par rapports il se pardonne un peu trop facilement ce qu'il a fait 25 ans plutôt le prof n'étant pour rien dans cette histoire
J'ai adoré ce livre, je trouve au contraire qu'il y a beaucoup de suspens. Ce n'est vraiment qu'à la fin qu'on sait qui est le corbeau. Jusqu'à la fin du livre on découvre de nouvelles personnes impliquées dans l'affaire. Ce style n'est clairement pas dans l'habitude de Musso mais pour moi c'est une réussite et un vrai coup de coeur. Bravo !!!!
J'ai aimé suivre les personnages même si parfois c'est un peu tiré par les cheveux. Le suspens est bien là pour ma part. En revanche qui est Manon Agostini et qu'est elle devenue? Cette policière municipale des toutes premières lignes. Si vous avez la réponse. ....
Franchement moi aussi j'ai rien compris par rapport à ça ,je veux savoir qui est le gars qu'elle voulait voir à la fête..et qui est la femme et le meurtrier qu'elle à trouvé ...
J'ai beaucoup aimé ce roman.
Belles intrigues et l'implication de l'auteur dans l'Affaire. C'est tres fort et tellement crédible.
Je n'ai pas aimé ce livre surtout la 2ème moitié et je n'ai rien compris a la fin ?? Ecriture bâclée.
Déception
Je ne connaissais pas Musso avant, malgré vos dires, je trouve que pour un premier policier de sa part, il est très bien écrit et accrocheur.
total ennui et d une écriture plate, le fil de l histoire est décousu. Aucun intérêt.
Fan des romans de G. Musso, cette fois je me suis ennuyée . Après un début captivant l’histoire traîne en longueur et on en vient même à sauter des pages . Il faut attendre les 3/4 du livre pour trouver un léger rebondissement. Je suis déçue de ne pas avoir ressent ce petit truc qui fait que l’on reste accrocher à l’histoire jusqu’au bout.
Je viens de finir le livre, avec bien du mal, quand un livre me plaît, je le dévore en une journée, max 2...là, 3 jours, je n'ai vraiment pas accroché... et la fin me déçoit, si tant est qu'il y ait une fin.... Je ne suis pas d'accord avec les commentaires élogieux qui figurent sur la couverture du livre (Edition Le Livre de Poche) (livre que l'on m'a offert)...
Pour la femme et le meurtrier qu'elle trouve au début du roman, ce sont Annabelle et Richard (les parents de Thomas) même si pour le coup j'ai beau l'avoir lu et relu je ne comprends toujours pas pourquoi avoir commencé avec ce passage pour ne l'expliquer qu'à la fin du livre et surtout ne pas reparler de la policière.. Un peu déçue par ce livre que j'ai pourtant lu 2 fois pour bien comprendre et ne passer à côté de rien mais bon je ne suis pas sortie éblouie, touchée ou autre de cette lecture..
Je lis Musso depuis ses débuts et j’accrocre à chaque fois, à tel point que je repousse la fin.
Tout est trop long, trop détaillé. J'etais pressée de terminer ce livre non pas pour son histoire, mais pour passer à un autre. Je me suis ennuyée et j'ai sauté beaucoup de pages. J'adore Musso en général mais c'est une grosse déception pour ce roman.
J ai bien-aimé un peu déçu par le manque de suspense du début mais reste le vengeur à découvrir et pourquoi....on suit cette histoire avec attention et on découvre les secrets et mensonge de chacun ...la fin me laisse perplexe...vaincra est elle morte ou non ...Thomas ne veut pas la voir morte ..il la ressuscite
Déjà bien déçue par Central Park soit disant hors normes, celui ci m'achève ! Musso est non seulement devenu banal mais surtout commercial et pire encore dans ce "bouquin", il se politise !! Tous les soirs je me détends en lisant depuis 40 ans, je m'évade à travers des auteurs de choix, parfois méconnus...mais la Jeune Fille et la Nuit est un véritable navet !!! Et Musso devrait revoir son langage prétentieux parfois fort mal employé.....
Du fait de la notoriété de Musso j ai achete ce livre. Que dire, si ce n est un peu déçu. Je le trouve brouillon, certains passages doivent etre relus L intrigue par elle-même ne casse pas trois pattes a un canard. Pour moi ce livre sera oubliéet rangé.
J’ai bien aimé ce livre qui est facile à lire. Je ne connaissais pas cet écrivain. Je n’ai pas été déçue par l’intrigue et ce livre m’a donné l’envie d’en lire d’autres. Affaire à suivre.
si vous avez aimez ce livre de musso vous aimerais encore plus les autres!
J'ai lu ce livre surtout parce que moi aussi, je viens de ce coin près d'Antibes. Comme Musso, je l'ai quitté à 19 ans mais en garde plein de bons souvenirs. J'ai trouvé que Musso montre bien sa connaissance et son amour pour la région, on s'y retrouve. Pour le roman lui-même, l'intrigue est bonne, les personages un peu moins, le scénario tient la route, la fin est correcte. Un peu du Dan Brown français, quoi.
Franchement déçue.... Musso peut être très bon mais il est souvent inégal. Ici, trop d'incohérences, de questions sans réponse, pas vraiment d'intrigue, des personnages pas très attachants...Une fin disons pas très morale et très dérangeante : ils ont tué un type qui était innocent de tout plus, une fille paumée (avant qu'il la ressuscite) mais tout va bien pour eux, ils ne seront pas dénoncés par le méchant journaliste (la maman meurtrière a bien fait les choses) et ils vont couler des jours tranquilles.... Bref, un héros antipathique qui se pose en victime (la malédiction des gentils!) et qui n'éprouve aucun remords d'avoir zigouillé un gars sur un coup de tête.... je n'aimerais pas le rencontrer sur mon chemin, ce gentil-là!
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