Chroniques à venir

Chroniques du 30 octobre au 5 novembre

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LUNDI 30 octobre :

  • ROMAN : Le Grand Feu, de Léonor de Recondo, Ed. Grasset, une chronique d'Elisabeth Autet
  • ESSAI : Le Piège américain, l’otage de la plus grande guerre souterraine témoigne, de Frédéric Pierucci et Matthieu Aron, Ed. J'ai lu, une chronique de Paul Beuzebosc
  • THEATRE Quinze Round, de Richard Bohringer, Théâtre de l'Atelier à Paris, une chronique de Charles Edouard Aubry

 

MARDI 31 octobre :

  • ESSAI : Le chemin des vierges enceintes, de Jean Yves Loude photographies de Viviane Lièvre, Ed. Chandeigne, une chronique de Marc Buffard
  • ROMAN : Humus, de Gaspard Koenig, Ed de l'Observatoire, une chronique de Marie de Benoist
  • THEATRE : L'avare, de Molière, Theâtre de la Tempête - La Cartoucherie, à Paris, une chronique de Charles-Edouard Aubry

 

MERCREDI 1er novembre :

  • CINEMA : titre de Une à venir / chroniques de Dominique Poncet et Antoine Le Fur
  • THEATRE : The Black blues brothers, d’Alexandre Sunny, Théâtre lIbre, à Paris, une chronique de Charles-Edouard Aubry

 

JEUDI 2 novembre :

  • EXPOSITION : Mode et Sport, d'un podium à l'autre, Musée des Arts décoratifs, à Paris, une chronique de Noémie Dambrin
  • THEATRE : Un léger doute, de Stéphane de Groodt,  Théâtre de la Renaissance  à Paris, une chronique de Jean Ruhlmann

 

VENDREDI 3 novembre :

  • ROMAN : Le don du mensonge, de Donna Leone, Ed. Calmann Levy, une chronique de Fabienne Havet
  • ESSAI : Quand l’Occident s’empare du monde (XVe-XXIe siècle). Peut-on alors se moderniser sans s’occidentaliser ? de Maurice Godelier, Ed du CNRS, une chronique de Jean-Michel Dasque
  • THEATRE : Les téméraires, de Julien Delpech et Alexandre Foulon,  Théâtre Comédie Bastille, à Paris, une chronique de Jean Pierre Hané

 

SAMEDI 4 novembre :

  • BANDE DESSINEE : Les sirènes de Bagdad, de Winock d'après le roman de Yasmina Khadra, Ed. Philéas, une chronique de Bertrand Devevey
  • THEATRE : Les gros patinent bien, cabaret de carton, de Pierre Guillois,  Théâtre Saint Georges à Paris, une chronique de Jean Ruhlmann